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Fendez le bois

Fendez-le bois, chauffez-le four, c’est une des milles variantes qui existent de la chanson "À la claire fontaine". C’est une chanson de métier, c'est à dire, une chanson qui te donne une cadence pour travailler. Plus que pour danser, mettons. La version qu’on chante dans les camps depuis des années ressemble pas mal aux versions des groupes des années 60 et 70: Les cailloux et Garolou.

À la claire fontaine m'en allant promener
J'ai trouvé l'eau si belle que je m'y suis baigné

REFAIN 

Il y a longtemps que je t’aime
Jamais je ne t’oublierai

Sous les feuilles d'un chêne, je me suis fait sécher
Sur la plus haute branche, le rossignol chantait

REFRAIN

Chante rossignol, chante, toi qui as le coeur gai
Tu as le coeur à rire, moi je l'ai à pleurer

REFRAIN

J'ai perdu ma maîtresse sans l'avoir mérité
Pour un bouquet de roses que je lui refusé

REFRAIN

Je voudrais que la rose fût encore au rosier
Et moi et ma maîtresse dans les mêmes amitiés

REFRAIN

À propos de l’interprète de cette chanson

De nature autodidacte, Simon Boudreau développe sa passion pour la musique à l’adolescence. C’est alors qu’il se met à jouer de la guitare et à écrire des chansons, loin de se douter que cette nouvelle passion qu’est l’écriture deviendra la pierre angulaire sur laquelle toute sa vie se construira.


Production : Association des camps du Québec
Réalisation : Synop6

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